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L’aventure inattendue partie2- Lee Strobel

Publié le Mis à jour le

Good morning!

Ce matin, un bon coup de boost avec ce que Lee Strobel nous propose dans la deuxième partie de son message de Juillet 2014 à une conférence sur le thème du témoignage  (audio ici

J’aimerai vous lancer un défi après la lecture de ce post. Pourquoi pas vous? Après tout qu’est-ce qu’on risque? Nous avec des amies on y réfléchit sérieusement encore pour cette année. Je pense en parler dans deux semaines en étudiant les différentes options pratiques que l’on pourrait avoir…

a lundi prochain pour la troisième et dernière partie.

coffeebean

 

PARTIE 2. Si Jésus vivait chez moi, il dirait à ses voisins que sa porte est toujours grande ouverte pour leurs questions.

 

 

Jésus dirait « Vous avez un doute ? Vous avez quelque chose qui vous travaille ? Vous avez quelque chose qui vous turlupine ? Passez boire un verre à la maison,  on en discutera ».

  • J’ai beau chercher, je ne crois pas que Jésus ait claqué la porte une seule fois  au visage de quelqu’un qui venait le voir avec une question sincère.

Je parlais justement de ce sujet avec un orateur de la conférence de l’année prochaine Dr. Gary Habermas. Il est un expert sur la résurrection mais il a écrit beaucoup de livres sur le doute. J’en parlais avec lui et il m’a dit

« Mais bien évidemment ! D’ailleurs le meilleurs exemple c’est Jean Baptiste. Si quelqu’un devait savoir l’identité de Christ, c’était lui. Jean Baptiste avait lui-même déclaré un jour  « voici l’agneau de dieu qui ôte les péchés du monde ». Il avait baptisé Jésus, il avait vu les cieux s’ouvrir et entendu la voix du Père dire « voici mon Fils en qui j’ai mis toute mon affection ». Il a encore dit « j’ai vu et je peux l’attester voici le Fils de Dieu »… Mais ensuite que s’est-il passé ? Il se fait arrêter et est jeté en prison… «

Question. Que se passe-t-il pour beaucoup d’entre nous quand les moments difficiles arrivent ? Le doute commence à nous assaillir. Et c’est ce qui s’est produit pour Jean Baptiste. Il est assis dans sa cellule et là il commence à avoir des questions et des doutes. Il rassemble plusieurs amis et leur demande de trouver Jésus et de lui demander, texto : «  Es-tu celui qu’on attend ou doit-on attendre quelqu’un d’autre ? » Ses amis partent et trouvent Jésus et lui disent que Jean Baptiste s’est fait arrêter,  qu’il panique et qu’il n’est plus si sûr que ça à propos de Jésus. « Est-ce que tu pourrais nous répondre ? Es-tu celui qu’on attend ou doit-on attendre quelqu’un ? ».

Voilà la question à cent mille dollars. Comment Jésus a-t-il réagi ? Est-ce qu’il s’est mis en colère ? Est-ce qu’il  a dit « Comment Jean ose-t-il avoir, et formuler, ne serait-ce qu’une once de doute quant à mon identité ? » Non ! Jésus dit aux amis de Jean :«  Retournez auprès de Jean et dîtes-lui ce que vous avez vu et entendu. Les aveugles voient, les invalides peuvent marcher, les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts reviennent à la vie et la bonne nouvelle est prêchée aux pauvres. »  En d’autres termes, Jésus leur dit de retourner auprès de Jean et de lui communiquer ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux et qui les convainc qu’il est bien celui qu’il dit être. Et les amis de Jean s’en retournent pour partager ça à Jean.

Est-ce que ce petit incident a disqualifié Jean de jouer un rôle dans le royaume de Dieu parce qu’il a osé poser une question ?… Non ! En fait c’est après cet incident que Jésus  a réuni plusieurs personnes et leur a dit « Parmi tous, il n’y a personne plus grand que Jean ». Jean celui qui doute. Jean le gars qui a hésité, qui avait des questions.

Mes amis. Il est parfaitement normal pour nous, disciples de Jésus, d’avoir des questions. Il nous est même permis d’avoir des doutes tant que nous faisons ce que Jean fait, tant que nous cherchons des réponses.

Je pense que la bonne nouvelle est qu’il y a de bonnes réponses aux questions les plus difficiles de la vie. Mais  nous devons avoir l’honnêteté d’avouer que nous avons des questions… pourtant souvent on a honte de les poser, on n’ose pas les poser. On va à l’église et les gens ont l’air tellement fort dans leur foi.  Ça nous parait comme un défaut spirituel que de se poser des questions ou d’exprimer un doute.

C’est comme un cauchemar. Vous avez déjà eu des cauchemars, qui vous font vous réveiller en sueur, vous respirez bruyamment tellement c’était effrayant ? Et votre mère ou votre femme vous demande ce qui s’est passé et vous dites : « C’était horrible il y avait cet horrible monstre dans le couloir, il était gros et vert ».  Vous commencez à en parler et vous vous dites « c’est ridicule, quel rêve ridicule! » mais il vous a effrayé quand vous rêviez.

Je crois que c’est ce qui ce passe avec les interrogations qu’on a sur des questions spirituelles. Si on les garde et qu’on n’en parle pas, alors elles vont prendre corps. Elles vont commencer à attaquer notre foi. Mais quand on en discute, tout d’un coup elles ont l’air de perdre de leur emprise sur nous. Nous pouvons chercher les réponses qui vont nous satisfaire.

 

  • Ce qu’il y a également d’important, et ce que 1 Pierre 3.15 nous dit de faire, c’est d’être toujours prêt à donner une réponse à ceux qui nous demandent les raisons de notre espérance et de le faire avec douceur et respect.

Et être du sel ou une lumière au 21ème siècle cela veut dire qu’il faut aider nos amis qui ont des questions.

Tellement de gens ont un point épineux qui les retient dans leur cheminement vers Dieu. Ils ont juste besoin de quelqu’un, qui chemine avec eux et qui les aide à dépasser ce point épineux et avancer vers la croix.

Quand nous ne sommes pas prêts à faire cela, ou qu’on n’est pas disposé à faire cela, alors on devient juste un autre obstacle ou une autre raison de ne pas croire !

Combien de fois, ais-je vu des gens qui se posent des questions légitimes sur la foi finir par trouver des réponses satisfaisantes pour leur cœur et leur âme à partir du moment où ils ont eu l’opportunité d’en discuter et d’explorer vraiment ces questions. J’ai vu ça se produire des milliers de fois. La  bonne nouvelle est qu’on a des réponses crédibles aux questions les plus difficiles de la vie.

Une des histoires préférées de mon ami pasteur Mark et moi est la suivante :

Un de  mes amis de l’époque où j’étais athée  était le porte-parole national de l’Athéisme américains Inc.  Ça faisait très classe sur sa carte de visite car c’était son travail. Nous étions de bons amis et après que je sois devenu chrétien, ça a provoqué beaucoup de discussions. Un jour, il me regarde et il me dit

« Tu sais quoi Strobel ? Vous les chrétiens vous êtes tous pareils

-Qu’est-ce que tu veux dire ?

– Vous donnez les preuves pour Christ, pour Dieu, mais vous ne voulez pas évoquer les arguments contre Dieu et laisser les gens décider par eux-mêmes

Ah oui ? Ok. Trouve-moi l’athée le plus émérite. Je lui paie l’avion jusqu’à mon église et il pourra présenter ses preuves pour l’athéisme…. Mais je vais aussi demander à un chrétien de présenter  ses preuves pour Christ. Il y aura un débat et on laissera les gens décider par eux-mêmes.

Tu ne feras jamais ça, me dit-il.

– Ah oui ? On parie ? Tope là !

Juste après je me suis dit que j’aurai peut-être dû demander l’autorisation du  pasteur responsable avant d’accepter. Trop tard. Tout était en marche !Et la nouvelle se répandit comme de la poudre. Les journaux sautèrent sur l’histoire. Gros buzz médiatique. Pourquoi ? Parce que l’église montrait qu’elle n’avait pas peur d’entrer dans une discussion intellectuelle ou de soumettre le christianisme à des questionnements. Les stations de radio de tout le pays ont commencé à m’appeler pour me demander si elles pouvaient transmettre ce débat en direct. Pourquoi pas ! 117 stations radio décidèrent de faire ça. Une station radio envoya même des commentateurs comme si c’était un combat de boxe qui allait avoir lieu !  C’était incroyable. Le soir du débat la circulation était bloquée à 3 kilomètres aux alentours de notre église. Lorsqu’on a ouvert les portes de l’auditorium, des gens ont couru pour avoir un siège ! C’est quand la dernière fois que vous avez vu quelqu’un entrer en courant dans une église ? Ce soir-là on a eu 7778  personnes sur place ou qui suivaient la retransmission sur le campus.

Le débat a commencé. Nous avions choisi  Dr William Lane Craig pour représenter le point de vue chrétien, c’est un des meilleurs penseurs du moment. Ce gars est trop fort. C’est Mark Mittelberg qui l’a appelé pour lui demander s’il voulait bien venir de Belgique où il faisait je ne sais quoi, de la recherche sans doute. Et lui avec  toute sa gentillesse et son humilité a répondu «  Oui, bien sûr, ça me ferait plaisir de faire ça… Mais dis- moi, ce débat c’est en anglais, français, néerlandais ou allemand ? » Le cerveau de ce type est énorme.

Bref,  William Lane Craig commence le débat et donne 25 minutes d’exposition  sur les preuves de l’existence de Dieu, sur la véracité du christianisme. C’était une des choses les plus puissantes que j’ai jamais entendue. J’avais envie d’applaudir, mais j’étais le modérateur je devais être neutre.

Ensuite vient le tour d’un  enseignant athée de l’université de Columbus Franck Zimbler. Mais on ne lui avait pas dit que, sous la scène où il était assis, il y a avait une pièce et qu’elle était pleine à craquer de gens, de gens qui ont prié pendant 2 h30 pour que le message de Christ puisse être convainquant et que l’athéisme soit reconnu comme une philosophie en banqueroute. Et si vous avez vu la vidéo du débat, vous savez que Dieu a répondu  à cette prière. On le sait car on a fait voter les gens en entrant et en sortant du débat. On demandait «  Quelle était votre condition spirituelle en arrivant  au débat ? Qui a gagné le débat ? Quelle est votre condition spirituelle après le débat ? »

On avait seulement pris  en compte le vote des athées, des agnostiques et des sceptiques. Après avoir entendu les éléments sur Christ, 82 pour cent dirent que le point de vue chrétien était le plus convainquant et 47 personnes ressortirent chrétiens du débat ! Et vous savez quoi, pas une seule personne n’est devenue athée !…

Et si vous pensez que ce débat n’était qu’un gros coup de bol, alors je vous encourage fortement à aller sur YouTube ; regardez le débat entre William Lane Craig et l’un des  plus grands athées du monde Christopher Hitchens. C’était quelques années avant la mort de  M. Hitchens.  Voilà ce qu’en dirent les commentateurs athées : « Bill Craig a donné la fessée a Christopher Hitchens comme on la donne à un enfant qui fait le sot.» c’étaient leurs conclusions sur le débat.

 

Mes amis, nous avons un avantage déloyal dans le marché des idées. Nous avons la vérité de notre côté.  C’est un sacré avantage.

 

Mais qu’est-ce que je suis en train de dire ? Est-ce que je suis en train d’argumenter pour que tout le monde apprenne à débattre avec les autres ? Non. Je pense que Dieu donne le  don  à certaines personnes de débattre avec les autres. Je préfère quand les chercheurs débattent avec d’autres chercheurs. Bill Craig, Gary Habermas , JP Moreland et Mike o’ Connor et d’autres ont le don de débattre et c’est fantastique mais je n’aime pas faire ça et vous ?Ce n’est pas moi.

 

  • Mes amis je pense que pour nous, le mot clé n’est pas » débat » mais « dialogue ». C’est discuter. C’est avoir des conversations. C’est développer des amitiés. C’est s’asseoir avec quelqu’un qui a un autre point de vue que soi, l’écouter et le valider en  tant qu’être humain fait à l’image de Dieu. C’est plus souvent écouter que parler. C’est les aider à trouver des résolutions aux points épineux qui les bloquent.  Je pense que c’est plus ce que vous et moi sommes appelés à faire.

 

hand-point-right-2Ce que j’ai vu se produire ces dernières années, qui est selon moi un des développements les plus excitants dans l’évangélisme en Amérique, c’est l’émergence de ce que j’appelle des groupes de découverte spirituelle. Des petits groupes composés d’une demi-douzaine de non-croyants qui vont faire ensemble tout un processus de découverte spirituelle proposée par un couple chrétien ou par deux chrétiens. C’est créer un lieu « sûr » pour nos amis qui ont des questions. Ils peuvent juste venir et discuter de manière candide sur « pourquoi nous croyons » et sur « ce que nous croyons ». Ces trucs sont explosifs.

 

Quand Mark et moi étions encore à Willow Creek nous avions contacté Gary Poole qui était pasteur à Minneapolis parce qu’il adorait développer ce genre de groupes. Il les faisait partout, chez lui etc. On lui a demandé de venir chez nous et de lancer l’impulsion pour ce genre de groupes et d’enseigner aux gens comment animer ces groupes. Il est venu et a fait une session de formation et très vite 1100 non-croyants ont participé activement à ce type de groupe. On les a suivis au fur et à mesure du temps. Et devinez ce qui se passe ? Si des  non-croyants participent à un de ces groupes et y restent, 80 pour cent d’entre eux viennent à Christ. Où d’autre peut-on trouver une probabilité de 80 pour cent de conversion ??? C’est fantastique !

 

On  est tous les deux à Denver maintenant et on a recommencé la même chose : Gary est venu tout expliquer. Une dame de notre église, qui s’appelle Marcy a commencé un groupe. Elle y a invité 6 voisins et en 6 mois tous sont devenus chrétiens. Elle a alors commencé un deuxième groupe, et aux dernières nouvelles, deux déjà sont devenus chrétiens.

 

Ces groupes sont incroyables. C’est une manière d’évangéliser qui change tout !

 

Et vous savez quoi, mes amis, vous pourriez en animer un. N’importe qui peut s’occuper d’un groupe comme ça. Ma femme est introvertie, elle n’a pas le don d’évangéliser et  pourtant elle en anime un. Elle a invité une demi-douzaine de femmes  du voisinage et elles ont répondu par l’affirmative. Pourquoi ? Parce qu’elles ont confiance en Lesley et qu’elles l’apprécient et la plupart d’entre elles ont dit qu’elles adoreraient parler de ça. Ma femme a fait ce groupe chez nous.

 

N’importe qui peut en avoir un et en animer un!  Si vous voulez apprendre à animer un tel groupe. Je peux vous donner le titre du livre de Gary (il a écrit un livre sur comment faire ça) : «  Seekers small groups ». Ce livre aiderait n’importe qui à animer un groupe. Ces groupes ont tellement de force !

 

Il y avait une dame dans notre église qui  était athée. Elle avait commencé à venir à l’église parce que sa fille était venue et avait accepté Christ, et donc elle était en colère. Une bonne mère athée. Elle avait commencé à venir à notre église, et elle était assez odieuse. Un jour, elle vient me voir et me dit qu’elle avait appris qu’on avait des groupes pour ceux qui ne croient pas et qu’elle voulait aller à un de ces groupes, mais juste pour embêter le monde et poser le plus de questions embarrassantes possibles pour les chrétiens. Je lui ai dit que j’étais content, mais je me disais intérieurement que j’étais quand même bien content qu’elle ne vienne pas dans  mon groupe… Je ne l’ai pas revue pendant 6 mois. Au bout de 6 mois, pendant un baptême collectif, je la vois s’avancer pour se faire baptiser ! J’ai failli tomber à la renverse.

Qu’est-ce que tu fais là, lui ai-je demandé.

Je viens me faire baptiser

Attends une minute, la dernière fois que je t’ai vue, tu voulais te joindre à un des groupes pour embêter le monde. Que s’est-il passé ?

Je n’oublierai jamais sa réponse…

Lee, le couple chrétien qui animait mon groupe m’aimait même si j’étais odieuse. Et quand j’étais malade ils m’amenaient de la soupe. Quand j’étais en voyage d’affaire et manquait une session, ils m’appelaient et me disaient que je leur avais manqué et ils m’invitaient à boire un café. Ils m’ont écouté, ils m’ont respectée… »

En gros ils l’ont aimé de telle manière à ce qu’elle entre dans le royaume de Dieu. C’est comme ça que ces groupes fonctionnent. C’est juste une excuse pour se voir et parler de choses spirituelles. Mais Dieu utilise ces groupes puissamment.

Si vous voulez faire ça, renseignez-vous ! Lisez le livre de Gary par exemple. Je pense que toutes les églises devraient avoir ça […]

 

hand-point-right-2L’élément clé de ces groupes est que vous, le responsable, vous ne leur fassiez pas une prédication. Il ne faut pas les asseoir et leur donner une leçon d’apologétique. Au contraire, le but est de les écouter, de discuter avec eux. Écouter bien plus que parler d’ailleurs.  Le but, s’est petit à petit,  de découvrir des choses ensemble.

 

Certains de ces groupes commencent de cette manière : à la fin de la première réunion, dont le but est de se connaître un peu mieux, le responsable peut poser la question suivante à chaque personne :

 

« Si vous pouviez poser à Dieu n’importe quelle question en sachant qu’il vous répondrait, qu’est-ce que vous lui demanderiez ? »

Bob, un gars fictif, pourrait répondre « Où était Dieu quand ma fille de 2 ans est morte ? ».

Le Responsable, répondrait quelque chose de ce style : Bob je suis vraiment désolé. Merci pour ta réponse. Je note ça. Nick et toi que dirais-tu ?

Nick : Entre la Bible le Coran…  pourquoi y a –t-il autant de religions et laquelle est vraie ?

Responsable : Bonne question ! Merci Nick. Je note.

Mary : j’ai une super voisine, elle est mormon et une autre qui est musulmane. C’est vrai que vous dites qu’elle ira en enfer ?

Responsable : Ouh ! très bonne question je la note aussi.

Etc.

 

On passe le groupe en revue et on dit aux gens qui sont là que : leurs questions, ce sera notre programme. La semaine suivante on posera la question de  Bob par exemple «  Où est dieu quand des choses terribles se passent ? ». On dira qu’on n’a pas toutes les réponses mais qu’on a hâte d’entendre l’opinion des autres sur la question et qu’on présentera un mini aperçu biblique.

 

Ça donne une semaine au responsable pour se préparer sur la question. Et tout le monde a hâte de revenir parce qu’on va parler de leurs questions, de leurs problèmes épineux.

 

Ça c’est une des façons d’animer ces groupes. Une autre manière peut aussi être de suivre le programme que nous avons déjà établi et qui est basé sur des extraits vidéo.

 

Il y a plusieurs façons de faire. Mais franchement ces groupes sont l’idéal pour le 21ème siècle car tout le monde a une opinion qu’il veut partager.  Tout le monde se dit expert de quelque chose ou a juste consulté Wikipédia. Nous faisons partie d’une génération qui veut parler et réfléchir verbalement. Ces groupes sont une excuse pour se voir et faire ça.

 

Je  crois que si Jésus vivait chez moi il dirait à tout le monde « si tu as une question, passe à la maison ».

 

Mes amis nous n’avons pas besoin d’avoir réponse à tout, parfois la meilleure chose que nous puissions dire à quelqu’un c’est « C’est une très bonne question, je n’ai aucune idée de comment y répondre. Mais tu sais quoi, cherchons ensemble une réponse. »   Nous avons beaucoup de ressources à notre disposition.